1, square St Thomas - 77240 Cesson la forêt
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http://www.catherinemonthule.com/
Mon travail de céramiste a évolué vers la sculpture, il en a souvent gardé les rondeurs. Restée longtemps fidèle au matériau terre (terre chamotée, cuite, patinée) Quelques bronzes et résines ont été tirées de mes pièces. Peu à peu je me suis essayée à la pierre (pierre calcaire de Richemont, stéatite, albâtre)Mon travail c'et un surcroit de vie. Inutile et subversif, mais indispensable, impérieusement nécessaire. Une recherche d'harmonie.Travail de plus en plus personnel, inspiré, intérieur, viscéral, reflet de mes efforts, de mes idéaux, difficile et inconfortable mais source de joie et de paix. Je fais des supports de rêve. Volumes ronds, purs, lourds, forts, simples, doux, sereins, rassurants, féminins, maternels, sensuels, intimistes, calmes, généreux, jubilatoires, mystérieux.C'est un témoin exigeant de ma vie : temps de latence, période d'avancée. Pièces engendrées par le plaisir et qui visent à engendrer ce même plaisir. Cette voie semble inépuisable. C'est comme une musique intérieure. Quête vers le sacré, l'absolu.Catherine Monthulé maitrise la cuisson de ses créations et réalise elle-même l'émaillage et la patine. Patines originales à chaud qui contiennent notamment des pigments métalliques. Ses œuvres sont exposées régulièrement dans les salons et expositions du Grand Ouest, en Auvergne, à Paris, en Allemagne et en Angleterre. Les sculptures de Catherine Monthulé ont souvent accompagné les expositions de peinture de ses amis peintres (Michel Clos, Bernard d'Orange, Christiane Gervaise, Kazuo Iwamura…)
Catherine MONTHULÉ
Hôtel Campain, 50490 Le Mesnilbus
02 33 17 23 53 Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Pourquoi être contraint de fournir une explication rationnelle à ce qui pousse un artiste à se montrer, sinon à vouloir partager ce qu'il réalise en passant par ses instants de désespoir devant l'immensité du travail à accomplir et qu'il s'est lui-même fixé, mais aussi à partager ses moments d'enthousiasme trop grands, trop lourds à porter pour un seul être. Le partage devient alors l'unique solution.
Cette nécessité de transmettre par la photo mes émotions en partageant des petits moments de complicité, de tendresse avec les personnes rencontrées au fil de mes déplacements et « balades », m’a poussé et décidé à faire de la photographie mon métier depuis 1997 en créant la société ARELYS :Vivre de cette passion a été possible grâce à l’aide de mon compagnon et aux nombreuses formations suivies sur Paris.Une fois la technique maitrisée, j’ai laissé paisiblement mon regard se poser sur tout ce qui m’entoure de beau et qui m’enthousiasme : un paysage baignée de soleil aux couleurs chatoyantes, un détail de sculpture gravé dans la pierre avec tout le talent et la passion d’un homme, un regard, un geste, un sourire.Mon travail pour un Parc naturel Régional (le Gâtinais) depuis de longues années, de nombreux reportages sur le patrimoine culturel des régions françaises, le travail de reproduction d’œuvres d’art (peinture, sculpture) des photos de portraits en studio etc… m’ont permis de faire de belles rencontres, de partager des moments privilégiés et d’exercer mon métier avec passion.Ayant accumulé pendant de nombreuses années un nombre de clichés important dans divers domaines je souhaite m’orienter en partie vers l’édition pour mettre en page mes photos (en travaillant avec une graphiste talentueuse partageant les même émotions que moi) et en ouvrant mes portes à celles ou ceux qui souhaiteraient se faire publier. C’est pourquoi par ce premier livre « Les petits Riens parisiens des années 1970 » ( premières photos réalisées en argentique bien sûr et en noir et blanc)…….. l’aventure continue !Des projets sont en cours de réalisation pour les années à venir, entre autres plusieurs ouvrages sur le regard et la main de l’artiste, de l’artisan, de l’enfant et bien d’autres …
47, rue Saint Fiacre, 91580 Auvers sur Orge tél : 01 60 80 40 09 Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Pour parvenir au degré d'expressivité souhaitée à partir d'une interprétation naturaliste du sujet, il crée ses propres outils, une variété de berceaux de toutes les tailles, adaptés à chaque composition… Si le corps féminin, dont Watanabé célèbre la grâce et le mystère, demeure son sujet favori, il s'est tourné vers la nature depuis son installation en Bretagne en 1999.Plus qu'aucune autre technique de gravure, la manière noire permet le rendu tactile de l'épiderme, du velouté de la peau. Une série de nus rend compte de ce savoir, qui ne vaut que par une sensibilité charnelle qui dispense la lumière enveloppante sur une chute de reins, sur un dos, alors que l'ombre semble submerger une partie du corps. " Le corps humain est aussi beau qu'une pierre ou un arbre ", confie l'artiste. Il le prouve avec une série inédite sur les insectes, les poissons, les grenouilles, les fleurs, les papillons.Enchanté par la vie qui se cache en chacune de ces créatures, la plus humble soit-elle, il tente d'en fixer la secrète beauté, comme sa complexité anatomique. C'est en poète entomologiste que le graveur dissèque la coloquinte, les ailes du papillon… Le regard appelle la main. On se laisse prendre au trompe-œil, si éloquent. La pertinence graphique est épaulée par un jeu de miroir en prise sur le cache d'un faux cadre.
Le clos de la Bodinais, 44290 Pierric 06 84 1 65 51 Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
